Symposium de Montpellier
Il y a quelques temps, j'ai suivi un séminaire dédié à l'innovation. Pour un geek comme moi, c'est une occasion en or : cela me permet de se faire une idée sur les inventions qui vont métamorphoser nos existences. Et celle qui m'a vraiment alléché au cours de ce dernier événement, c'est indiscutablement les bus sans chauffeur. Les premiers transports sans chauffeur s'installent dans nos rues. Et considérant l'engouement que manifestent les politiciens pour ces transports, il est certain qu'ils vont rapidement se développer d'ici un an ou deux . La voiture est sur le point de vivre sa plus grande révolution.
En réalité, j'ai longtemps cru que la voiture intelligente était sans avenir. J'aime trop conduire pour laisser le véhicule me remplacer. A quoi allait se consacrer le conducteur était-il censé passer le temps s'il devenait un simple passager ? Mais depuis, la réponse est arrivée avec le smartphone. En voiture, le conducteur sera bientôt rivé à son smartphone que sur la route. Et les avantages que délivrent ces nouveaux transports sont innombrables. Il y a pour commencer la question de la sécurité. Un programme ne fait pas d'excès de vitesse, ne fume pas au volant, n'a pas sommeil. Pour résumer : le programme est la conductrice de rêve, et va fortement participer à réduire les accidents de la route. Mais ce n'est là que la surface émergée de l'iceberg. D'autres avantages, comme : éliminer les parkings en centre-ville (la voiture pouvant se garer toute seule plus loin) ; augmenter les limites de vitesse ; avoir une plus grande efficacité énergétique. Je crois que vous l'aurez compris : je suis impatient de voir venir cette innovation sur le terrain. J'ai été ravi de séminaire m'a décillé les yeux. Je vous mets au passage un lien vers l'agence qui s'en est occupée : j'ai été séduit par l'organisation qu'elle a eu tout du long.En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste renommé de ce séminaire entreprise à Montpellier.
De Rugy et les gilets jaunes
Il faut faire entendre la voix du climat. « Une pétition pour le climat, oui je signe. Une pétition pour attaquer l’État, non. D’ailleurs, il s’agit plus d’un levier d’action politique que d’un réel recours en justice. Les ONG sont dans leur rôle d’aiguillon de l’opinion… Mais ce n’est pas dans un tribunal qu’on va faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. Ce n’est pas à des juges de forcer le gouvernement à prendre une loi, ce n’est pas le sens de nos institutions. « Mon hypothèse est que le succès de cette pétition pour le climat est peut-être aussi une réplique aux mouvements des Gilets jaunes qui parlent parfois de l’écologie comme d’un problème. « Justement, avec un tel raz-de-marée écolo au moment de la crise des Gilets jaunes, assiste-t-on à une fracture entre deux France ? « Je ne le souhaite pas. De fait, tout le monde n’a pas le même point de vue. Franck Riester voit le jour le 3 janvier 1974 à Paris. Elève brillant, il est diplômé de l’Institut supérieur de gestion puis de l’ESSEC où il obtient un master en gestion des collectivités territoriales. Après une première expérience professionnelle dans une entreprise d’audit, il rejoint l’entreprise familiale Riester SA, des concessions automobiles Peugeot, fondée par son grand-père. En 2012, lors de la campagne présidentielle, il est porte-parole adjoint de Nicolas Sarkozy. Il est nommé en 2013 secrétaire général adjoint de l’UMP. La même année, il devient également président de la Communauté de communes du Pays de Coulommiers. Lors des élections législatives de juin 2017, il est réélu député et adhère au groupe Les Républicains constructifs, UDI et indépendants. Mais quelques mois plus tard, en octobre, il est exclu des Républicains. A la fin de l’année 2017, il fonde avec une vingtaine d’anciens LR un nouveau parti, baptisé Agir, la droite constructive. Il y a une hyperpersonnalisation du président de la République dans le débat qui n'est pas toujours pertinente. Par exemple, quand il y a une motion de censure déposée par les oppositions, BFM n'a pas titré : « Motion de censure contre le gouvernement », mais « contre Emmanuel Macron ». On a une forme d'effacement des frontières entre les rôles dans l'analyse. Pourtant, on ne doit pas tout attendre du président de la République. On ne peut pas à la fois tout lui reprocher et tout attendre de lui. Lui reprocher d'être Jupiter, l'homme providentiel, et en même temps attendre exactement de lui qu'il soit l'homme providentiel et qu'il règle tous les problèmes d'un claquement de doigts. C'est aussi le travail du gouvernement de faire ces remontées au président. À nous de le faire. Vous avez été recadrée après avoir déclaré que l'ISF pourrait être rétabli si l'évaluation de l'IFI (impôt sur la fortune immobilière) ne donnait pas satisfaction. Votre parole est-elle encore libre ? Ma parole est toujours libre aujourd'hui. Le gouvernement de Jean-Marc Ayrault avait alors reculé, ce que l’actuel Premier ministre, Edouard Philippe, considère comme une erreur. Pour le député LaRem Florian Bachelier, le franc-parler fait partie intégrante de l’ADN de Jean-Yves Le Drian. “Tous les Bretons ont une parole libérée par définition. Jean-Yves Le Drian, qui a été longtemps président du conseil régional de Bretagne, a une parole aussi libre que les élus et les membres du gouvernement”, a dit à Reuters l’élu de Rennes. “Quand nous avons convergé, venus de tous horizons, il y avait une appréhension dont nous nous sommes accommodés au départ. Aujourd’hui, c’est beaucoup plus difficile”, dit un proche. De l’avis de certains observateurs bretons, le charme est rompu entre Emmanuel Macron et Jean-Yves Le Drian, qui fut un des premiers ralliés à l’aventure d’En marche. “Après avoir été ministre de la Défense, avec différents conflits à gérer, il ne se retrouve plus vraiment aux Affaires étrangères dont une bonne part est prise en charge par Emmanuel Macron”, dit-on à l’Assemblée régionale. “Sans doute a-t-il été charmé et ébloui par la personnalité du président mais celui-ci s’est révélé finalement assez loin de son histoire et de ses valeurs”, ajoute cette même source. Natif de Lorient, président de la région Bretagne de 2004 à 2017 Jean-Yves Le Drian nourrirait-il pour autant des ambitions en vue des prochaines échéances électorales ? Si, en Bretagne, on évoque une lassitude dans ses fonctions, un retour aux affaires locales paraît improbable, ne serait-ce que par loyauté envers son dauphin Loïc Chesnais-Girard, 41 ans. Plus sévère, un député LaRem décrit sous couvert d’anonymat un ministre “en fin de parcours” qui devrait selon lui quitter le gouvernement après les élections européennes de mai prochain. “Il a été un bon ministre de la Défense mais, passé au Affaires étrangères, il reste centré sur ce sujet, c’est-à-dire sur les relations avec quatre ou cinq pays. Or la planète est grande”, considère cet élu au fait de l’actualité diplomatique. Ils sont quelques jeunes loups de droite prometteurs à prendre l’habitude de dîner ensemble : Edouard Philippe, Franck Riester, Bruno Le Maire, Thierry Solère et l’ancien ministre Benoist Apparu. Les trois premiers se retrouvent aujourd'hui à la table du Conseil des ministres. En revanche, Franck Riester connaît peu Emmanuel Macron. Ils sont de la même génération - Wauquiez a 43 ans, Riester 44 ans -, ont tous les deux été maires (du Puy-en-Velay pour le premier, de Coulommiers pour le second), mais ils ne partagent pas grand-chose. Riester fustige la ligne Buisson, les sympathies pour Sens Commun, les critiques au vitriol de l’Europe…"Ça fait des années que je n’ai pas échangé avec Laurent", dit-il. Sauf pour s’opposer entre les deux tours de la présidentielle sur la ligne à tenir. A LR, c’est Wauquiez qui l’a emporté : son parti n’a pas appelé clairement à voter Emmanuel Macron. Il dénonce aujourd'hui la dérive droitière de son camp, mais Riester fut, en 2012, porte-parole adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy. Non. Ni les uns, ni les autres. Cette personnalité à qui Blanquer doit tout est une femme. Je ne pense pas à elle, et du reste - le ministre préservant à juste titre sa vie privée - on ne sait rien d’elle. Jean-Michel Blanquer doit tout à Najat Vallaud-Belkacem, qui l’a précédé rue de Grenelle. Grâce à elle, il est populaire. Grâce à elle, tout ce qu’il touche se transforme en or sondagier. Grâce à elle, cet homme est le messie. Après moi, le soleil ! Il suffisait juste d’annoncer son intention de rétablir les classes bilangues, le Latin et le Grec pour paraître un homme de bon sens. Le ministre n’a même pas eu besoin de financer leur rétablissement en redonnant les dotations en heures-postes correspondantes. Ce qui, au passage, n’a pas permis qu’elles fassent leur retour dans bon nombre d’établissements. Oui, il suffisait juste de l’annoncer. A lire aussi: Scandale des admissions post-bac: merci Najat Vallaud-Belkacem! En ce qui concerne la sélection à l’université c’est encore plus piquant. Pour travailler davantage, cette Toulousaine, qui a un petit appartement à Paris, s’est installée au ministère. «Je descends au bureau vers 7h15 et j’y reste jusqu’à 23h30. Ces derniers jours, pendant la crise, c’était même jusqu’à 3 heures du matin…», décrit-elle. Ses fils, de 21, 33 et 34 ans, se sont «un peu inquiétés» pour elle. Militante socialiste de base. Ses douze vies. «La vie est curieuse. Quand j’ai fait mon DEA de droit, j’ai écrit un mémoire qui a été publié, sur les décisions rendues par le garde des Sceaux en 1777. Et ces originaux du conseil du roi sont ici, dans ce bureau ! » Universitaire, mère de trois garçons, élue, rectrice, membre du Conseil constitutionnel puis ministre, elle a eu, plaisante-t-elle, «douze vies». Les choses sont souvent arrivées par hasard. «J’ai toujours eu une forme d’appétence pour l’inconnu. Lorsqu’on me fait des propositions, j’accepte d’abord, et je réfléchis ensuite. Quand on m’a proposé de devenir rectrice, j’ai dit “oui”. Ce qui est bien supérieur au salaire de Benjamin Griveaux. Sauf que, comme le précise sa déclaration à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), sa femme est une pénaliste de renom, associée au sein du cabinet d'avocats Temime. A eux deux, il y a donc de grandes chances pour qu'ils dépassent assez largement les 10.000 euros de revenus par mois. D'autres éléments de la déclaration de patrimoine de Benjamin Griveaux auprès de la HATVP, transmise en décembre 2017, peuvent aussi laisser penser que le ministre aurait les moyens d'acheter dans la capitale. Car le porte-parole du gouvernement dispose d’un patrimoine substantiel. Il détenait ainsi fin 2017 pour 375.000 euros de biens immobiliers. Avec ses autres actifs (principalement des comptes-titres et des comptes courants), Benjamin Griveaux disposait de 600.176 euros de patrimoine brut, pour une dette de 273.198 euros. Soit 326.978 euros de patrimoine net. Certes, sur ce montant, tout n'est pas forcément vendable immédiatement. En effet, et c'est contradictoire avec le fait qu'il indique ne pas avoir hérité, le ministre détient en nue-propriété des parts dans cinq biens (un garage, deux maisons et deux locaux commerciaux) pour une valeur totale de 135.000 euros. En matière de santé au travail, des progrès ont été réalisés, notamment pour que la qualité de vie au travail devienne un véritable sujet de négociation au sein des entreprises. Toutefois, la situation demeure perfectible sous différents aspects. Pour Muriel Pénicaud « Il y a aujourd’hui 4 858 médecins du travail en France pour 18 millions de salariés dans le secteur privé. En 10 ans, nous avons perdu 30% du nombre de médecins du travail et aujourd’hui, 75% des médecins du travail ont plus de 55 ans. Si nous n’agissons pas, nous allons au-devant d’une véritable pénurie de médecins du travail ». Les accidents du travail et les maladies professionnelles sont encore trop nombreux. Les services de santé au travail, acteur central de la politique de prévention, souffre d’une désaffection qui peut, sans action corrective, devenir problématique. De multiples acteurs interviennent en la matière, au niveau national comme au niveau régional ou local, sans toujours la coordination nécessaire pour maximiser l’efficacité des actions portées. Ce constat appelle des mesures à la hauteur des enjeux. Le troisième plan de santé au travail constitue déjà un plan d’actions ambitieux, élaboré à l’unanimité des partenaires sociaux.
Le renouveau des avions de combat
Au milieu des années 90, l'armée américaine avait besoin d'un avion de chasse furtif supersonique à faible coût que les trois branches des forces armées pourraient déployer. Facile, non? La compétition de design qui a suivi - et très controversée - entre Boeing et Lockheed a vu le gagnant remporter un contrat de défense de 200 milliards de dollars, qui est devenu à son tour la débâcle que nous connaissons sous le nom de F-35. Mais qu'en est-il de l'avion que nous aurions pu avoir à la place? Le programme Joint Strike Fighter (JSF) a été lancé en 1996 dans le but de produire un avion tactique polyvalent à faible coût pour l'armée américaine et ses alliés. À cette fin, elle a octroyé des contrats de conception de quatre ans à Boeing et à Lockheed Martin au motif qu'ils produisaient des avions de démonstration de concept, plus connus sous le nom de démonstrateurs technologiques. Ces avions seraient tenus non seulement de montrer leurs prouesses au combat, mais également leurs capacités de maniabilité à basse vitesse, d'approche par porteuse et de décollage rapide, d'atterrissage vertical, en particulier la capacité de se déplacer en vol. Les entrées de Boeing, baptisées X-32A et X-32B, mesuraient 45 pieds de long et étaient propulsées par un seul turboréacteur à combustion interne de Pratt and Whitney de 28 000 lb offrant des vitesses de mach 1,6 et une autonomie de 830 milles marins. L'une des principales innovations de Boeing consistait à économiser des coûts considérables en produisant la principale composante structurelle, l'aile delta en fibre de carbone, en une seule unité. L'aile mesurait 36 pieds de diamètre et pouvait contenir plus de 20 000 livres de carburant. Son angle de balayage sévère de 55 degrés a permis de limiter la traînée transsonique, tout en permettant une section d'aile plus épaisse. Malheureusement, cette composante s'avérerait difficile à fabriquer, et de manière beaucoup moins rentable à produire à grande échelle. Cette méthode nécessite uniquement l'ajout d'un seul module de vectorisation de poussée au moteur principal, par opposition au ventilateur de levage à entraînement par arbre plus compliqué - mais plus puissant - de Lockheed, mais exige également que le moteur soit déplacé vers l'arrière. de l'avion jusqu'à l'arrière du cockpit pour équilibrer la répartition du poids de l'avion de façon plus homogène en vol stationnaire. Le système de levage direct du X-32 exigeait également que le chasseur intègre cette prise d'air sous le menton; sinon le moteur principal ne recevrait pas assez d'air en vol stationnaire. En raison du poids excessif de l'aile du delta, Boeing a dû montrer les capacités de vol supersonique et STOVL de l'avion sur des plates-formes distinctes. Le X-32A prendrait en charge les démonstrations conventionnelles de décollage et de supersonique, tandis que le X-32B se chargerait des capacités VTOL, avec la promesse de Boeing de les unifier bien sûr si le design gagnait. À l'inverse, le X-35 pourrait effectuer les deux tâches en utilisant le même prototype. En septembre 2000, X-32A a entrepris quatre mois d'essais en vol sur 66 sorties, tandis que le X-32B a commencé ses essais en mars suivant. Ces essais en vol se sont achevés en juillet 2001, les performances de vol réelles de Boeing correspondant précisément à celles des prévisions de modèles informatiques réalisées au cours des quatre dernières années pour la première fois dans l'histoire de l'aviation. Cependant, la capacité de prévision de performance de Boeing n'était pas suffisante pour convaincre le ministère de la Défense, et en octobre 2001, le Pentagone a attribué le contrat du JSF à Lockheed. Le DoD a pris cette décision en grande partie grâce aux difficultés de la X-32 concernant le STOVL par rapport au X-35. Le prototype Boeing avait tendance à aspirer l'air chaud de l'échappement et à provoquer la surchauffe du moteur. En tant que tel, le DoD a déterminé que le système de vectorisation de poussée plus complexe du X-35 valait le risque. Son aile delta s'est avérée trop encombrante, son système STOVL trop indigne pour conquérir les cœurs et les esprits des brasseurs du DoD. Le X-35, d'autre part, a lui-même passé ses premiers tests en vol. Le contrat qui en a résulté a permis à Lockheed Martin d'obtenir plus de 19 milliards de dollars, tandis que Boeing a obtenu des «investissements stratégiques». "Chaque fois que nous entendons parler des difficultés de Lockheed avec le JSF, nous nous regardons tous et nous disons:" Ils n'ont pas choisi le bon produit ", Cynthia Cole, ancienne ingénieure d'essais en vol du programme Boeing de 1997 à 2002, a déclaré à Biz Journals. "Je pensais que notre modèle de décollage vertical était bien supérieur", a-t-elle poursuivi. "Le design était définitivement à la pointe, c'était une nouvelle technologie. Nous pensions vraiment que cela allait gagner la journée pour nous. D'un autre côté, qui peut dire que le X-32 aurait pu intégrer les deux moitiés de son fonctionnalité de combat? A lire sur le site de ce de baptême en Fouga Magister.
Brexit : Theresa May Défend Son Projet D’accord
Il a claqué la porte. Le ministre britannique du Brexit Dominic Raab a annoncé ce jeudi 15 novembre avoir démissionné, au lendemain du projet d'accord entre Theresa May et l'Union européenne sur le Brexit. Comme le précise BFMTV, c'est un nouveau coup dur pour la Première ministre britannique, qui bataille depuis plusieurs mois pour un accord. Pour justifier sa décision, Dominic Raab a évoqué son opposition au projet conclu. Comme le relaye franceinfo, le Premier ministre Edouard Philippe a fait part de son inquiétude quant à l'avenir des négociations sur le retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne et prépare la France au pire, alors que les démissions de ministres britanniques s'enchaînaient jeudi. « La France sera prête », a-t-il assuré. La première ministre britannique Theresa May a affirmé que le projet d'accord de Brexit conclu avec l'Union européenne était « le meilleur » possible pour le Royaume-Uni, lors d'une conférence de presse à Downing Street. Ce projet veut notamment empêcher le retour d'une frontière physique entre la République d'Irlande, membre de l'Union européenne, et la province britannique d'Irlande du Nord. « Je pense que le régime réglementaire proposé pour l'Irlande du Nord présente une menace très réelle pour l'intégrité du Royaume-Uni », affirme Dominic Raab. « Aucune nation démocratique n'a jamais consenti à être liée par un régime si extensif, imposé de l'extérieur sans aucun contrôle démocratique sur les lois qui seront appliquées », ajoute-t-il. Peu de temps avant le ministre du Brexit, le secrétaire d'Etat chargé de l'Irlande du Nord Shailesh Vara avait annoncé sa démission car il est lui aussi en désaccord avec le compromis. — Dominic Raab (@DominicRaab) 15 novembre 2018 Dans la foulée, la secrétaire d'Etat au travail et aux retraites Esther McVey a annoncé sa démission, elle aussi pour protester contre l'accord sur le Brexit. Quelques minutes après, la secrétaire d'Etat chargée du Brexit, Suelle Braverman, a elle aussi annoncé son départ du gouvernement, expliquant : « Je me trouve maintenant dans l'incapacité de soutenir sincèrement l'accord approuvé hier par le cabinet ». Selon Le Monde, la secrétaire d'Etat Anne-Marie Trevelyan aurait également démissionné. Selon Le Figaro, un sixième membre du gouvernement, Ranil Jayawardena, assistant ministériel au département de la Justice, aurait démissionné. Une motion de censure ? Selon Le Figaro, le député eurosceptique Jacob Rees-Mogg devrait déposer devant Comité 1922 une lettre appelant au vote d'une motion de censure contre Theresa May. D'après le quotidien, d'autres députés auraient également réuni leurs troupes Mercredi 14 novembre, l’Union européenne et le plus dissident de ses membres se sont rapprochés toujours plus d'un divorce à l'amiable lorsque le gouvernement britannique a validé le projet d'accord de Brexit conclu la veille avec l'Union européenne. C'est ce qu'a annoncé Theresa May au sortir de la réunion de cinq heures qu'elle a tenue avec son cabinet. « Un pas décisif » pour « finaliser l’accord » « La décision collective du cabinet est que le gouvernement doit approuver le projet d’accord », a expliqué la première ministre devant sa résidence du 10 Downing Street, ajoutant : « C’est un pas décisif qui va nous permettre d’avancer et de finaliser l’accord ». La dirigeante britannique est « prête à expliquer cet accord devant le Parlement », selon ce qu'elle affirmé, avant de préciser : « Je sais qu’il y a des jours difficiles qui nous attendent. Nous avions le choix entre cet accord ou revenir à la case départ. Je pense que ce que je dois à ce pays c’est de prendre des décisions dans l’intérêt de mon pays et je pense que cet accord est le mieux pour l’ensemble du Royaume-Uni. » Un « filet de sécurité » Une source européenne, dont Le Monde relaie les propos, a fait savoir que le projet d'accord prévoit notamment un « filet de sécurité » visant à éviter le retour d'une frontière physique entre l'Irlande du Nord, province du Royaume-Uni, et la République d'Irlande. De son côté, l’Union européenne a publié le projet d’accord. De son côté, le président du Conseil européen, Donald Tusk, s’exprimera jeudi matin.
Autour du vin
Si vous êtes persuadé que le rosé est un mélange de rouge et de blanc, votre cas est sans doute désespéré. Mais si, comme moi, vous appréciez le vin sans avoir nécessairement le vocabulaire ou les bons réflexes pour en parler, ce billet est pour vous ! Car hier, en effet, j'ai suivi un cours d'oenologie à Lorient. Une première en ce qui me concerne. J'ai voulu tester un tel atelier en partant d'un constat simple : quelle que soit l'envie qu'on en ait, on n'apprend pas des masses en dégustant des vins seul. Je me suis pendant un temps appuyé sur des guides et quelques manuels sur le sujet, mais force est de constater que : 1. ça n'a rien de festif. 2. on ne va pas très loin, de cette manière. 3. ça n'a vraiment rien de festif ! Alors que dans un atelier, on discute en toute liberté de ses impressions, on échange et on s'amuse. Et s'il peut sembler étrange de passer 4 heures pour déguster 6 verres à peine, on ne s'ennuie au final pas une seule seconde.
La seule chose qui m'ait empêché de m'inscrire plus tôt à un tel cours, c'est que je craignais que l'ambiance ne soit un peu guindée. Mais en réalité, toutes les classes d’âge étaient représentées, du quadragénaire au petit jeune de 23 ans à peine. A ce propos, voici une question : lesquels, des plus âgés ou des plus jeunes, s'y connaissaient le mieux en vin ? Contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce sont les seconds qui étaient les plus pointus. En effet, ils ont davantage d'entraînement que les autres, et surtout, une grande volonté d'apprendre. Leur activité professionnelle réclame en effet une certaine connaissance du vin et ils viennent donc là pour améliorer leurs compétences. Les plus âgés, quant à eux, sont plutôt à la recherche d’un moment de plaisir et d'échange.
Au final, cet atelier m'aura permis de déguster les vins d’un même château dans plusieurs millésimes (c'est ce qu'on appelle une dégustation horizontale). Je vous mets le descriptif du cours d'oenologie auquel j'ai assisté, si l'aventure vous intéresse. Encore plus d'information sur ce cours d'oenologie à Lorient en cliquant sur le site de l'organisateur.
L’offre de soins non programmés est d’abord portée par l’exercice libéral traditionnel
Les médecins généralistes libéraux, exerçant de manière isolée ou regroupée, prennent en charge une partie de la demande de soins non programmés, dès lors que celle-ci est sollicitée par leur patientèle habituelle. Comme rappelé par les médecins généralistes rencontrés lors des auditions, c’est une des responsabilités essentielles de la médecine générale de gérer simultanément les problèmes de santé aigus et chroniques de chaque patient. La gestion de la journée de consultations est très variable d’un médecin à l’autre, certains préférant consacrer la fin des demi-journées aux demandes non prévues, d’autres préférant recevoir ces patients au fur et à mesure. La prise en charge est d’autant plus facilitée que le médecin est installé en exercice regroupé : la présence d’un secrétariat joignable, voire présent physiquement dans le cabinet, facilite la prise en charge non programmée ; les secrétaires médicaux peuvent en effet effectuer un premier tri et prioriser les demandes. Les médecins généralistes rencontrés lors des déplacements ou des auditions n’expriment pas de difficulté à orienter leurs patients vers des médecins biologistes ou des radiologues, dès lors qu’un réseau informel s’est tissé entre ces professionnels. L’habitude de travailler avec un cabinet de radiologie ou un laboratoire de biologie médicale est souvent ancrée de manière ancienne, sans réunion ni projet de santé formalisé. Par ailleurs, la proximité d’installation n’est pas un gage d’échanges professionnels, il n’est pas rare que des professionnels d’un même territoire ne se connaissent pas.
Un parfum simple et luxueux
Givenchy est un nom à retenir si vous savez ce que le luxe implique. L'organisation Givenchy vend des parfums, des cosmétiques et de nombreux accessoires. La société a été créée en 1952 par M. Hubert de Givenchy. Il était un leader infatigable pendant quatre décennies. Les parfums les plus vendus par Givenchy sont: eau de Givenchy, monsieur Givenchy, Givenchy pour la maison, hot couture, organza, et bien d'autres. Eau de Givenchy est pour les femmes et a été créé en 1980. Il a un parfum doux et floral. Le parfum sent bon et l'odeur ne vous maîtrisera pas. Vous pouvez certainement sentir le mélange de lys, de jasmin et une touche de base boisée et musquée dans le parfum. Il est surtout recommandé pour une utilisation de jour. Étonnamment, l'arôme devient plus fort avec l'usure. Le gentleman Givenchy a été créé en 1974 et il est l'un des plus anciens de l'organisation. Le parfum est parfait pour la scène de bureau et peut également être utilisé pour les tenues de soirée. Bien que l'odeur soit forte, elle n'est pas trop forte. Soyez prêt pour les compliments gentils. Monsieur Givenchy contient de l'estragon, de la cannelle, du patchouli et une touche de civette. Givenchy pour la maison a été créée en 2002. C'est l'eau de Cologne pour les hommes. Il est léger et frais, mais a aussi un côté sensuel et addictif. Le parfum est frais avec des herbes vertes, des épices exotiques, des baumes, des fruits frais et boisés. Le parfum a une puissance durable et très sensuelle pour les sens. Les femelles aiment celui-ci sur vous - les gars. Le parfum Hot Couture pour femme a été lancé en 2000. Ce parfum bien fait par Givenchy est un parfum floral et oriental qui est merveilleux pour les tenues de soirée. La note de framboise se fraye un chemin à travers le voile de vétiver ambré et de magnolia avec une subtile touche de poivre. Il a des notes de framboise et d'ambre, mélangé avec du poivre, bien que la framboise domine d'abord, le poivre et la vanille se mélangent pour en faire un parfum parfait. Comme une robe de couture rare, ce parfum est une création originale et artistique. Le parfum Hot Couture contient les notes suivantes: Framboise, Ambre, Vétiver, Magnolia, Poivre et Vanille. Hot couture a été lancé en 2000 et la célébration a été bien suivie par le bien faire et la presse. C'est pour les femmes et parfait pour une utilisation en soirée. Il a une touche florale et orientale dans le parfum. Il est mélangé avec de la framboise, de l'ambre, du magnolia, du poivre et de la vanille. L'odeur est parfaite et la plupart des femmes en posséderont une. Organza a été introduit en 1996 et a une forte odeur. Le parfum vous attrape et vous tire vers le porteur. Il est fait avec un mélange de chèvrefeuille, ambre, muscade, vanille, gardénia et il est recommandé pour une utilisation de jour. La bouteille est tout aussi jolie. Les femmes ne portent que de l'organza quand vous voulez faire tourner les têtes, créer de l'excitation et hypnotiser les gars. Je vous le dis, il a le pouvoir de vous apporter des câlins de nouveaux admirateurs. Attention, c'est très sensuel et séduisant. Soyez averti les gars vont vous manger! Pour en savoir plus, je vous suggère la lecture du blog sur cette création de parfum à Paris qui est très bien fait sur le sujet.
Comment tirer parti des technologies des pointe
La difficulté majeure des pays en développement pour tirer parti des technologies de pointe, tout autant que des technologies plus établies, consiste à assimiler, adopter et diffuser des connaissances et des technologies afin de promouvoir un développement durable. La réussite dépend de l’efficacité des systèmes d’innovation nécessaires, qui sont moins robustes et plus sujets à des défaillances systémiques et des insuffisances structurelles dans les pays en développement. S’ils sont centrés sur les entreprises, les systèmes d’innovation, qui englobent aussi les systèmes de recherche et d’enseignement, les pouvoirs publics, la société civile et les consommateurs, et leur efficacité, reposent sur les capacités des divers acteurs et les relations qu’ils entretiennent, et la façon dont l’innovation est encadrée. Dans les pays en développement dont le système d’innovation est encore récent, la plupart des acteurs doivent d’abord acquérir certaines bases pour apprendre à adopter, assimiler et diffuser les connaissances et les technologies existantes. C’est une condition essentielle du transfert de technologies, qui est complémentaire des efforts visant à renforcer le potentiel d’innovation endogène, mais ne saurait les remplacer. Les liens entre les acteurs sont tout aussi essentiels - pour faciliter l’apprentissage, l’adoption des technologies et la mise au point de technologies nouvelles. À cet égard, tous les acteurs doivent avoir la capacité de fonctionner en réseau et de collaborer, même lorsqu’il existe des intermédiaires de l’innovation ou des courtiers en connaissances et en technologie. Quand les connaissances locales sont incomplètes et que l’accès à l’information commerciale est limité, l’établissement de liens avec des entreprises, des bailleurs de fonds et des centres de recherche étrangers est une étape clef. Si la collaboration pour l’innovation peut avoir lieu spontanément, elle nécessite souvent une facilitation active de l’État ou d’acteurs non gouvernementaux, en particulier dans les domaines liés aux problèmes sociaux et environnementaux.
En L39 à Reims
Avant-hier, quatre mois après qu'on me l'ait offert en cadeau, j'ai effectué mon baptême de l'air en avion de chasse. Une promenade sidérante que j'hésitais à faire, mais que je ne regrette pas d'avoir réalisé. Même si elle a été, et c'est peu de le dire, éprouvante et riche en sensations ! Je me suis pointé aux alentours de 12h à l'aéroport de Pontoise où j'ai pu rencontrer mon futur instructeur. Un pilote de ligne avec 5000h de vol au compteur, et qui plus est ancien officier de la Patrouille de France. Les autres participants étaient déjà arrivés, et je les ai rejoints pour assister au briefing nous présentant le vol, les particularités du Fouga Magister, et les consignes de sécurité. Finalement le pilote a déterminé notre ordre de passage. Comme personne ne voulait passer en premier, je me suis proposé, et c'est ainsi que je suis allé enfiler la combinaison de vol avant de rallier l'avion en compagnie du pilote. Le Fouga est trompeur en apparence. Il n'a pas le look d'un avion de combat. Cet appareil d'entraînement paraît assez inoffensif, avec sa queue en V et son côté rétro (il date des années 1950). Mais je savais déjà qu'il était ultraflexible et qu'il offrait d'excellentes sensations en vol. C'est donc avec un curieux mélange d'excitation et d'appréhension que je me suis glissé dans le cockpit à la suite du pilote, et que l'équipe m'a sanglé à mon siège. Dernières recommandations avant que la verrière se referme et que je me retrouve seul avec le pilote. Le pilote a acheminé l'appareil en bout de piste et l'a aligné face à elle. Enfin, j'y étais. Même là, sur le point de décoller, je n'arrivais pas y croire. L'envol s'est fait avec grâce, et nous avons attaqué par un sympathique vol d'observation. La verrière m'offrait une vision ahurissante sur la terre alentour et j'en profitais pour prendre quelques photos. Puis le pilote m'a conseillé de ranger mon appareil parce qu'il allait entamer l'étape tant espérée : la phase de haute voltige. La partie acrobatique est un peu comme un bouquet final de feu d'artifices. Ca part dans tous les sens et ça ne s'arrête plus. Le premier looping m'a soufflé lorsque j'ai senti tout mon corps écrasé contre le siège. Je pensais avoir un moment pour me remettre mais une autre figure a immédiatement suivi. Et cela a été comme ça pendant près de dix minutes. Après plusieurs virages et quelques loopings, j'ai commencé à me sentir « partir » et me suis contracté autant que possible pour empêcher le voile noir (l'évanouissement). Une expérience dérangeante, où la terreur est presque aussi forte que le plaisir ! Si je la recommande aux amateurs de sensations fortes, elle est à éviter absolument aux personnes sensibles. Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du site sur ce de baptême en L39 Albatros à Reims qui est très bien élaboré sur ce sujet.
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